La Faculté de médecine dentaire et GreenShield Canada (GSC) ont conclu une entente de partenariat qui permettra d’offrir des soins buccodentaires gratuits à 225 personnes à faible revenu de la grande région de Québec. Ce projet bénéficie d’un soutien financier de 750 000 $ de GreenShield et permettra d’agir en amont pour améliorer la santé globale des personnes, en plus de prévenir et de traiter certaines maladies buccodentaires.
« Les soins de santé buccodentaire ne sont pas seulement une question de bien-être personnel, mais un élément fondamental de la santé globale et de la qualité de vie. Malheureusement, l’accès équitable aux soins de santé buccodentaire demeure précaire pour de nombreuses populations en quête d’équité à travers le Canada », a déclaré Zahid Salman, président-directeur général de GreenShield. « En tant qu’entreprise sociale à but non lucratif, dont la mission est de promouvoir une meilleure santé pour tous, GreenShield s’engage à améliorer les résultats en matière de santé pour les Canadiennes et Canadiens. L’une des façons dont nous y parvenons est de rendre les services de santé buccodentaire plus accessibles aux communautés mal desservies et marginalisées, et ce partenariat est une autre façon pour nous de veiller à ce que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens aient un accès équitable aux soins dont ils ont besoin. »
La collaboration, qui s’échelonnera jusqu’en mars 2025, comporte aussi un volet recherche, qui permettra de recueillir des données probantes sur des déterminants de santé, en plus de documenter l’impact de l’accès à des soins dentaires gratuits sur l’individu, son entourage et sur la société en général. La Faculté travaillera de pair avec GreenShield Canada et ses partenaires communautaires de la grande région de Québec, dont le CIUSSS de la Capitale-Nationale, et d’autres organisations clés pour accroître la portée de cette initiative.
« Historiquement, la Faculté s’est engagée à améliorer l’accès aux soins buccodentaires pour certaines tranches de la population, dont celle à faible revenu, et ce projet est pleinement ancré dans cette vision que nous portons avec fierté », a souligné la professeure en santé dentaire communautaire et responsable de la Clinique ACCÈS, Dre Aimée Dawson. « Sur le plan de la formation et des valeurs que nous inculquons à nos étudiantes et étudiants, tant au premier cycle qu’aux cycles supérieurs, il s’agit d’une occasion supplémentaire de développer une approche éthique et professionnelle, adaptée aux besoins des patientes et patients, peu importe leur statut économique et social. »
« En tant que diplômé de l’Université Laval, je suis fier de cette contribution et de l’engagement continu de GreenShield en santé buccodentaire, visant à combler le fossé de l’accès aux soins dentaires pour les gens à faible revenu », a partagé Steve Laberge, vice-président principal, Affaires commerciales et Leader Québec chez GreenShield. « Alors que la demande de soins en santé buccodentaire continue d’augmenter, les individus sont confrontés à des choix difficiles en raison de l’augmentation des coûts des produits de première nécessité, tels que la nourriture et le loyer. Nous nous engageons à fournir à un plus grand nombre de personnes un accès aux soins dentaires, ce qui correspond à la mission de GreenShield. »
GreenShield est motivée par son objectif et sa mission de s’attaquer à des problèmes complexes. Par l’entremise de GreenShield Cares, l’organisation engendre des changements positifs significatifs et a un impact social dans les communautés à travers le Canada. Le programme de santé buccodentaire de GreenShield Cares a pour mission de combler les lacunes dans les services et d’améliorer l’accès aux soins de santé buccodentaire. Grâce à des partenariats avec des établissements universitaires de premier plan, tels que la Faculté de médecine dentaire de l’Université Laval, et des fournisseurs de soins de santé communautaires de première ligne, le programme a aidé plus de 45 000 Canadiennes et Canadiens à accéder à des services de santé buccodentaire gratuits.
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Le présent article est paru dans ULaval nouvelles.
